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Tourisme 3


Alpes Is here : source de hauteur pour la station du futur et hiver d'exception.

Chantal Carlioz, présidente d'Isère tourisme et vice-présidente du département du tourisme, de la montagne et des stations est assistée de tous les représentants des massifs et stations, lors de la dernière conférence de presse qui s'est tenue sur Paris, nous a vanté tous les pôles touristiques de sa splendide région. L'Isère c'est des hivers d'exception aujourd'hui et demain.
Dans quelques semaines, le coup d'envoi de la saison d'hiver va être donné dans l'Isère, dans les 2 Alpes, pendant les vacances de la Toussaint. Là-haut sur les glaciers, ce sera l'avant première d'une saison qui je l’espère, nous enchantera tous. En Chartreuse, dans le Vercors, dans Belledone et dans l'Oisans, nos stations seront les portes d'un territoire unique dans les Alpes. 
Unique, par la diversité de ses espaces de pleine nature et des expériences qu'on peut y vivre, qu'on soit contemplatif ou amateur de grand ski sauvage.
L'Isère a toujours été pionnière dans le développement du tourisme hivernal : les premiers skieurs, les premiers J.O d'hiver moderne en 1968, l'innovation permanente de nos acteurs majeurs (Poma, Rossignol...). Aujourd'hui et demain, notre territoire sera en première ligne pour être précurseur par rapport aux évolutions qui nous traversent. Et disons le, celle ci seront majeures. Demain en montagne sera forcement différent.

Tout d'abord, les attentes de nos clients évoluent et sont de plus en plus diverses suivant les catégories : familles, groupes d'amis, couples, seniors... Dans un quotidien sous l'emprise de la vitesse et du stress, nous aspirons à vivre des épisodes porteurs de sens, de ressourcement, de reconstruction de lien. Le contact avec la nature, l'immersion dans des lieux où l'on peut se retrouver ensemble, entre amis, en famille, le partage, ont au moins autant de valeur que l'action.

Le changement climatique nous impose aussi de faire évoluer notre approche touristique. Si le ski reste un élément clé, nous devons en repenser les modalités de pratiques, la place et l'impact. Au cœur de cette évolution : la neige de culture. Aujourd'hui, c'est la seule technique qui garantit un bon fonctionnement des domaines, mais c'est sur l'ensemble de l’expérience touristique en montagne, que nous devons réfléchir.
Ces mutations sont des chances à saisir pour notre territoire. Nos 4 massifs, nos 23 stations de sport d'hiver, les 9,9 nuitées effectuées chez nous, notre histoire et notre dynamique nous rendent légitimes pour imaginer la montagne de demain.

A cours et moyen terme, deux projets pilotés par Isère tourisme sont emblématiques de cette volonté.
Tout d'abord le projet Station du Futur : nous avons souhaité apporter une vision à 360° de ce que pourra être une station en 2030. Depuis 2017, un travail collaboratif de prospectives avec de multiples acteurs a été conduit. On été réunis : des acteurs de la montagne, des spécialistes transport et énergie, des chefs d'entreprises, des universitaires chercheurs ; des spécialistes de l'environnement. 5 typologies de stations cibles ont été définies : pleine d'énergie douce, loisirs, hight tech, hyper sport. Sur cette saison 2018/2019, nous allons rentrer en phase de modélisation avec six stations du territoire.
Puis ensuite l'étude Neige de Culture : elle a pour but d'évaluer en Isère, la pertinence des projets en tenant compte des projections d'enseignement jusqu'en 2050, de la disponibilité des ressources en eau et des équilibres financiers. C'est une étude unique en son genre dont les résultats sont en cours d'analyse pour une publication très prochaine.

Pour conclure, revenons à cette ouverture de saison. Grâce aux hommes et aux femmes qui font notre montagne, nous avons tous les atouts pour que la magie de l'hiver soit plus que jamais au rendez-vous.
Skier, marcher, expérimenter de nouvelles pratiques, découvrir nos richesses naturelles et du terroir, se ressourcer, s'amuser... il y en aura pour toutes les attentes quel que soit le massif.

Dans l'Isère, à chacun son émerveillement.
Alpes Is Here c'est aussi le restaurant de Cédric Bayle et Franck Brun, l'Xtreme.
Cédric Bayle et Franck Brun, maîtres restaurateurs, sont à l'origine de cet établissement qui vaut le détour. Amis de longues date, unis par la passion d'une cuisine bien faite et par le plaisir de recevoir, ils se sont lancés dans l'aventure pour le plus grand plaisir des gourmands. Tandis que l'un excelle en cuisine, le second met les petits plats dans les grands pour vous proposer un service sans faute.

Crédit photo : Alpes Is Here et restaurant l'Xtreme

Une cuisine audacieuse faite maison, essentiellement réalisée à partir de produits frais et de qualité. La carte qui évolue au fil des saisons et au grès des produits proposés par les producteurs locaux, ne manque pas de nouveautés. Une attention toute particulière est apportée au dressage des assiettes, de quoi éveiller l'appétit avant le ravissement des papilles.  
Une renommée qui n'est plus à faire face à une affluence toujours plus importante. Cédric Bayle et Franck Brun ont poussé les murs pour pouvoir proposer une cinquantaine de couverts, de quoi en tout cas satisfaire une clientèle toujours plus exigeante.

Le site du restaurant ici.

Henri IV ... le retour.  
Le peuple de France et de Navarre aurait croisé le bon roi Henri, dans les rues de Paris. 
Sa Majesté le roi aurait été aperçu aux Halles devant la Fontaine des Innocents, place des Vosges, devant la statue équestre de son fils Louis XIII, sur la place Dauphine et enfin devant sa statue équestre, sur le Pont Neuf.
 
Il paraît que notre bon roi n'aurait pas hésité un seul instant ; il serait descendu de son cheval pour aller à la rencontre d'une jeunesse turbulente, plein de questions pour ce grand personnage haut en couleur.
Si Henri, quatrième du nom, roi de France et de Navarre avait su qu'il deviendrait le roi des selfies...


Crédit photo : Denis-Emmanuel

Henri IV
, dit le Grand, né Henri de Bourbon le 13 décembre 1553 à Pau et mort assassiné le 14 mai 1610 à Paris, est roi de Navarre sous le nom de Henri III (de 1572 à 1610), puis roi de France sous le nom d'Henri IV (de 1589 à 1610), devenant à ce titre le premier roi de France issu de la maison capétienne de Bourbon. 
Il cumule ainsi les dignités de roi de France et de Navarre.
Bien que baptisé catholique à sa naissance, il s'implique dans les guerres de religion en tant que prince de sang, roi de Navarre et chef protestant. Il abjure sa foi huguenote à l'occasion du massacre de la Saint-Barthélemy, puis redevient protestant après sa fuite de la cour de France.
Pour être accepté comme roi de France, Henri IV poursuit la guerre contre la Ligue, finit par se reconvertir au catholicisme et signe l'édit de Nantes, traité de paix qui tolère dans certaines limites le culte protestant, mettant ainsi fin à plus de trois décennies de guerre de religion.
Alors qu'il prépare une guerre contre l'Espagne, il est assassiné le 14 mai 1610 par un fanatique charentais, François Ravaillac, rue de la Ferronnerie à Paris.

Après cette page d'Histoire de France, revenons à notre énigme. Sa Majesté serait parti du siège de la Maison de l'Aquitaine, qui est actuellement aux couleurs et senteurs de son cher Béarn, dans un van Mercedes noir (modernité oblige), avec une petite cour (un groupe de journalistes), pour partir à la découverte du Paris 2019.
Notre bon roi, bon vivant comme nous le savons tous, aurait, dit-on, fait bonne chère au restaurant du sieur Christian Etchebest, La cantine du Troquet Dupleix.

Crédit photo : Denis-Emmanuel

Sa Majesté n'a pas choisi cet établissement au hasard puisqu'il propose de la cuisine béarnaise qu'il affectionne tant. 
A la carte de ce bistrot bien de chez nous, l’habitué n'hésitera pas devant l’œuf mayo, l'andouille fumée du Béarn, la terrine de boudin, les oreilles de cochon. Les charcuteries d'Eric Ospital répondent toujours présentes à l'appel. Christian Etchebest aime plus que tout réunir les bons vivants autour de ses plats préférés en sachant leur taquiner les papilles. Ambiance de tablées de repas de famille ou repas entre copains dans ce goût du partage. L'amitié et la cuisine de terroir très généreuse, sont les piliers de la vie de ce chef basque, fier de ses racines.

On connait son penchant pour les spécialités du Sud-Ouest et les innombrables suggestions à partir du cochon. Les aiguillettes de canard snackées, la daurade à la plancha, le dos de lieu, les côtes d'agneau au jus de chorizo accompagnées de délicieuses frites maison et de piperade sont des défis quotidiens pour ce chef perfectionniste. Les produits sont frais et la carte change souvent. 
Les boissons suivent aussi avec notamment un blanc béarnais de l'Escudé, un irouléguy bio du Domaine Arretxea ou encore un côte de Bordeaux du Château Le Puy.

D'après certaines indiscrétions, l'on aurait servi à sa Majesté un consommé de poule et ballotine de volaille au foie gras poêlé, carré et selle d'agneau de Laruns escortés de haricots-maïs, de copieuses tranches de fromage de brebis Ossau-iraty puis en dessert, une splendide pâtisserie à la pomme de vergers béarnais

Crédit photo : Denis-Emmanuel


Sa Majesté, très curieuse de visiter cette cuisine du vingt et unième siècle, ultra moderne et pleine de fonctionnalités, n'a pas manqué de féliciter le chef Christian Etchebest et toute son équipe.
 
Ravaillac m'a tué...
Le bon roi Henri nous a quitté, assassiné rue de la Ferronnerie à quelques mètres de la Fontaine des Innocents et c'est Bernard Monforte, depuis 2016, à la demande de l'Agence d'Attractivité et de Développement Touristique du Béarn (AADT), qu'il incarne un Henri IV plus vrai que nature sur les étapes du Tour de France. 
L'énigme est donc résolue et c'est bien Bernard que nous avons vu dans les rues de Paris, se comportant en véritable ambassadeur du Béarn.

Crédit photo : Denis-Emmanuel

Bernard sillonne la France pendant 3 semaines, juché sur son splendide char royal à l'effigie du château de Pau
Il investit la caravane publicitaire de l'équipe béarnaise et les plateaux de télévision régionaux pour y faire la promotion de son Béarn d'adoption, nous raconte, entre deux interviews, une anecdote parfois croustillante sur la cour du Vert-Galant, surfant avec grande subtilité sur les anachronismes, et cela rencontre un franc succès.
Plutôt qu'une promotion traditionnelle sous la forme de publicités affichées dans le métro ou dans les magazines, Jacques Pédehontaà, le dynamique maire de Laàs et président de l'Agence d'Attractivité et de Développement Touristique du Béarn est à l'origine de ce challenge culturel qui consiste à faire connaître le Béarn à travers l'un des personnages les plus célèbres de l'Histoire de France
L'Agence d'Attractivité et de Développement Touristique du Béarn lutte entre autre contre la désertification des territoires ruraux qui frappe durement un certain nombre de zones en France. Jacques Péehontaà se bat bec et ongle pour le respect des identités régionales.
Sur ce Tour de France 2019, Bernard Monforte sera vêtu d'un costume jaune en hommage cette année, au centenaire du maillot jaune (1919-2019).

Savoie Mont Blanc 2019/2020 : innovation - respiration - sensations - authenticité.
Hier perçue comme menacée, la montagne pourrait demain être considérée en danger. Partagé depuis longtemps par les professionnels du tourisme, ce constat gagne aujourd'hui les clients dont beaucoup se disent soucieux des enjeux liés aux évolutions climatiques et à la cause environnementale. 

Savoie Mont Blanc Tourisme a organisé le lancement de l'hiver 2019/2020 à l'occasion du traditionnel workshop presse au Pavillon Wagram. 
Parmi les Offices de Tourisme et les Partenaires présents :
 
Arêches-Beaufort / Avoriaz 1800 / Brides-les-Bains / Châtel / Combloux / Courchevel / Flaine / Grand Massif Montagnes du Giffre / Haute-Maurienne Vanoise / La Clusaz / La Plagne / La Rosière / Le Grand-Bornand  / Les Alpes du Léman / Les Arcs Bourg Saint-Maurice / Les Gets / Les Menuires / Les Saisies /Les Sybelles / Les Sybelles-Le Corbier / Les Sybelles - Saint Sorlin d'Arves / Massif des Bauges Les Aillons-Margeriaz & Savoie Grand Revard / Manigod / Megève / Méribel / Morzine-Avoriaz / Les Portes du Soleil / Peisey-Vallandry / Pralognan-la-Vanoise / Praz-sur-Arly / Praz de Lys Sommand / Sainte-Foy-Tarentaise / Saint-Gervais Mont-Blanc / Saint-Martin-de-Belleville /Samoëns / Les Sources du Lac d'Annecy / Tignes / Val d'Arly Savoie Mont Blanc/ Val d'Isère / Val Thorens / Vallée de Chamonix-Mont-Blanc / Valloire-Galibier / Valmeinier / Valmorel.
École du Ski Français / Gîtes de France Savoie Mont Blanc / France Montagnes / Haute-Savoie Nordic et Savoie Nordic / La Grande Odyssée Savoie Mont Blanc / La France du Nord au Sud - Maeva.com / Savoie Mont Blanc Juniors / Ski-Planet / Sunweb / Travelski.

Crédit photo : Denis-Emmanuel

Le coup de cœur de Denis-Emmanuel revient à la station village Manigod.
Cette destination de charme pour y découvrir le ski en famille ou entre amis sur les 25km de pistes ludiques, ses 15 remontées mécaniques, Manigod se situe entre 1460 et 1780m d'altitude, dans la partie Sud-Est du massif des Aravis, dans la vallée portant le nom du village. 
Authentique, conviviale et accessible, la vallée de Manigod qui se modernise avec un nouveau logo, ne demande qu'à être explorée. L'un des plus beaux panoramas de Haute-Savoie avec ses alpages verdoyants, chalets et fermes traditionnels. C'est un voyage dans le temps et un retour aux choses simples qui attend les vacanciers, à une trentaine de minutes d'Annecy et son lac.
Avec ses dizaines d'itinéraires balisés, l'équipe d'animation de l'Office de Tourisme propose toute la saison estivale des semaines à thème tant sportives, culturelles, festives. Installée au col de Merdassier, la piscine de la station a fait peau neuve et un petit bassin est prévu pour les plus jeunes. 
Montagne et sport ne font qu'un, et ce n'est pas Manigod qui dérogera à cette règle avec randonnées, trail running, vélo, escalade ou ski de fond, raquettes, paret et snowtubing.

La vie rurale, l'habitat, les coutumes : Manigod compte de nombreux trésors, certains sont gourmands, d'autres patrimoniaux, pour le plus grand bonheur des visiteurs comme pour la plus grande fierté des autochtones. 
En effet, cette vallée est riche en histoire et chaque hameau a sa chapelle. L'Office de Tourisme qui ne cesse de mettre le patrimoine en valeur  a lancé La Route des Chapelles ou la découverte de 6 chapelles disposant d'un panneau d'information : Villard-Dessous, joux, Tournance, Charmette, Montpellaz et Plan les Berthats.
Autre curiosité, l'église Saint-Pierre et son orgue disposant de 1362 tuyaux, véritable curiosité de style italien aux 22 jeux, orné d'un buffet en noyer sculpté et jalousement conservé par l'association Campanelli.
La montagne se visite aussi autour d'une bonne table... les bonnes adresses gourmandes ne manquent pas à Manigod. Au col de la Croix Fry, on ne présente plus le chef étoilé Marc Veyrat. Les fromages fermiers font la renommée des éleveurs et la vallée compte une vingtaine de producteurs de Reblochon et une cave d'affinage.  

Crédit photo : Denis-Emmanuel

De bouche à oreille, on se refile les bonnes adresses comme l'Auberge de Plan de Bois et ses traditionnels beignets de pommes de terre, La Vieille Ferme, au col de Merdassier où, dans un cadre typique, le chef nous propose de déguster des spécialités locales auprès de la cheminée.
Ne manquons pas de saluer Marc Dubouloz et son père Jacques de La Crémerie des Marchés pour l'excellence de leurs fromages ainsi que Julien Cantenot de Atelier P1 Boulangerie&Atelier pour ses pains si savoureux, qui nous ont régalé pour ce workshop.
Pour obtenir la liste des Offices de Tourisme et Partenaires présents ici

L'ivresse des sommets aux 2Alpes : quand le rêve devient réalité.
Une nouvelle ère souffle sur les 2Alpes. En effet, la station souhaite offrir le meilleur à ses clients, faciliter leur parcours, répondre à leurs besoins, les surprendre.

L'atout premier des 2Alpes est son altitude de 1600m à 3600m. Le travail sur les sommets et le développement de la neige de culture assurent une bonne skiabilité hiver comme été. Dans leur parure hivernale, les 23 stations de ski isérois nous ouvrent les portes sur des terres d'altitude, à la fois puissantes et fragiles.
Le cœur de l'Isère bat au rythme d'une nature grandiose se déployant particulièrement dans les montagnes. Un parc national (les Ecrins), 2 parcs régionaux (le Vercors et la Chartreuse), des grands massifs tels que Belledonne et les Grandes Rousses offrent une diversité de paysages remarquables.
Vastes parcs naturels, vallées pittoresques, faune et flore hors norme des collines ondulées, grands lacs, villes bouillonnantes d'activités, cimes aux neiges éternelles, grands glaciers ; tous cela s'étagent jusqu'à 3600m.
En Isère, la plupart des refuges sont à 2 heures de marche seulement. Plus qu'une halte au cour d'une randonnée, le refuge est un lieu d'échange et de convivialité, le temps d'une soirée. 
Dossier de presse AlpesIsHere hiver 2019-2020 ici.

Carrefour entre le nord de l'Europe et la Méditerranée, le territoire de l'Isère recèle de nombreux témoignages laissés par les hommes qui l'ont traversé et occupé. Sites archéologiques, religieux, musées, châteaux, ces visites surprenantes et émouvantes nous rappellent combien la connaissance du Passé nous est nécessaire pour aborder l'avenir.
Dans la plaine, les sommets constituent un horizon et une source d'inspiration pour les entrepreneurs, artistes, hommes de culture.

L'ivresse des sommets, c'est aussi l'exposition Eponyme qui se tient au musée dauphinois et qui met à l'honneur des élixirs issus des plantes des montagnes et, au delà, les richesses naturelles et culturelles des territoires.
Point d'élixirs sans tonneliers ni distillateurs. Installée à Saint Sauveur, la tonnellerie Bouyoud est spécialisée depuis quatre générations, dans la conception des fûts destinés au vieillissement et à l'élevage de grands crus. Par la rigueur des finitions apportées à ses produits, la tonnellerie Bouyoud affirme son caractère d'exception.
Chartreuse, génépi, absinthe, gentiane et bien d'autres, sont des spiritueux emblématique des Alpes. Quintessence de la flore de montagne, ils résultent des savoirs ethnobotaniques hérités de longue date. Qu'elles soient monastiques, domestiques ou industrielles, liqueurs et eaux-de-vie appartiennent au patrimoine agro-alimentaire alpin.
Cette production d'alcools distillés renvoie à la longue histoire d'entreprises dont l’existence en Isère et dans les départements voisins remonte parfois à plusieurs siècles. Des noms qui pour certains sont désormais connus dans le monde entier, preuve en est que les boissons des Alpes ont su séduire bien au delà de nos frontières. Véritable patrimoine, deux grands noms se détachent : la distillerie Meunier et la distillerie La Salettina.

Une figure du massif alpin, Marie Dorin-Habert, dont la carrière sportive s’étend de 2003 à 2018, championne olympique et quintuple championne du monde de biathlon, accompagnée par son mari, Loïs Habert, médaillé olympique et champion de France de ski de fond et le fondateur, Robin Duvillard, ancien membre de l'équipe de France et vice-champion d'Europe de biathlon, se sont lancés il y a quelques mois, dans un projet innovant et intéressant nommé Zecamp.
Les portes de ce projet se sont ouvertes à l'automne 2018 à Corrençon-en-Vercors, à 35 km de Grenoble. Zecamp, complexe hôtelier, propose de l'hébergement et de la restauration adaptés au sportifs, dans des infrastructures novatrices.

N'oublions pas de rappeler les 50 ans de la maison d'édition grenobloise Jacques Glenat, spécialisée dans les domaines de la BD, du Manga, du Comics et des beaux livres comme ces ouvrages sur le patrimoine alpin. 
Les éditions Jacques Glenat ont choisi comme siège social, les murs chargés d'histoire du couvent Sainte-Cécile

Crédit photo : Denis-Emmanuel

Enfin, il faut noter que le 10 et 11 avril 2020, la 27e brigade d'infanterie de montagne organise à Chamrousse, une course par équipe de ski d'alpinisme et de tir. 
Militaires et civils sont invités pour participer aux épreuves du parcours Choucas (12km/1700m D+/ passage alpi/épreuve de tir), et du parcours Gentianes (7km/750m D+/ passage alpi/épreuve de tir). Tous les renseignements ici.

Escale à Sète - le monde maritime à l'honneur.          
Sète s'attache à préserver fièrement son patrimoine maritime. La ville accueille un festival maritime unique dans toute la Grande Bleue soit 7 jours de fête au cœur d'un patrimoine maritime vivant.

Depuis sa première édition en 2010, la fête biennale Escale à Sète accueille le monde maritime durant la semaine pascale et célèbre les traditions au cœur du port de Sète. 
La ville de Sète est une cité méditerranéenne créée sous Louis XIV avec un port maritime et fluvial au carrefour du Canal du Midi, du Canal du Rhône et du Golf du Lion. 
C'est une ville traversée de canaux peuplés de barques traditionnelles et animés par la ferveur sportive des joutes languedociennes, un écrin exceptionnel peuplé de gens de mer qui, au gré des migrations, ont façonné l'identité de cette île singulière. Ils ont à cœur de maintenir le patrimoine dans ces quartiers de pêcheurs, entre mer et étang avec cette tradition orale faite de chansons, cuisine, art de vivre. En résumé... toute la culture d'une région.
 
Idéalement situé entre mer et étang, Sète, premier port de pêche et de commerce en méditerranée est vraiment un lieu de choix pour accueillir le premier festival dédié au patrimoine de la Grande Bleue. Encore fallait-il y penser et le faire... Wolfgang Idiri, qui se rendait dans des festivals existants en Bretagne en tant que musicien traditionnel n'a pas mis longtemps à s'en convaincre. C'était logique dit-il maintenant en souriant.
Wolfgang Idiri, directeur de l'évènement et président de l’association Escale à Sète ne manque jamais de saluer les institutionnels qui participent au succès de la manifestation depuis ses débuts. Au premier rang de ces soutiens, on compte François Commeinhes, maire de Sète et président de Sète agglopôle méditerranée et André Lubrano, conseiller régional.

Crédit photo : Denis-Emmanuel

Créé en 2010 autour d’une association de passionnés, ce premier festival dédié au patrimoine maritime en Méditerranée est passé d’une vingtaine de bateaux accueillis à 120 navires, de quelques milliers de visiteurs à plus de 300 000 et du statut de fête locale à celui d’événement d’envergure internationale. En effet, de prestigieux gréements navigant sur toutes les mers du globe se pressent pour y participer. Pour cette édition d'Escale à Sète, les Pays-Bas sont les invités d'honneur. 

Le festival reçoit le patronage de la branche française de l’Unesco pour sa mise en valeur du patrimoine maritime. Ce sera aussi le cas en 2020 avec une première : le patronage sera transfontalier. Il concernera à la fois Escale à Sète et Escale à Castellón de la Plana, du nom de la ville espagnole qui a pris exemple sur l’île singulière pour organiser, elle aussi, son événement. L’événement se déroulera aussi sous le Haut patronage du président de la République. Une reconnaissance au plus haut sommet de l’État.

Dès sa 1ère édition, Escale à Sète a souhaité mettre en avant les bonnes pratiques en matière de protection de l’environnement et du patrimoine maritime. Plan de circulation favorisant le déplacement doux, collecte des déchets, opérations de sauvegarde et de dépollution du monde marin et mise en place d’un circuit-court font partie des actions menées pour sensibiliser le public et réduire le bilan carbone

Ils sont passionnés, gens de mer, acteurs associatifs et vont s’investir sans compter dans Escale à Sète 2020. En tout, ce sont les 400 bénévoles de l’association qui portent l’âme d’Escale à Sète et assurent le bon fonctionnement de cette manifestation familiale et authentique en libre accès avec, toujours en tête, de favoriser le partage plus que le spectacle.
La recette du succès d’Escale à Sète est avant tout celui d’une formidable aventure humaine, la conjugaison d’énergies, de forces.

Escale à Sète en chiffres.
Escale à Sète c'est 300 000 visiteurs, 15 millions d'euros de retombées économiques pour le territoire, pas moins de 400 bénévoles, plus de 120 navires, 40 groupes de musique et chants marins. Le financement de cette opération est à hauteur de 40% de fond public et 60% apporté par des investissements privés.



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Crédit photo : Hôtel Monsieur George